VENTUS

« J'ai une meilleure idée. Et si je vous éliminais tous les deux ? »

• Quelle est pour vous la manière la plus agréable de passer une journée ? : Je m'entraîne ou je reste avec Aqua et Terra.
• Quel genre de choses/objets peut-on trouver sur votre table de chevet ? : Une lampe de nuit, une Keyblade en bois...
• Quel est l'objet dont vous ne vous séparez jamais ? ? : Le porte-bonheur qu'Aqua m'a offert, l'Eclaireuse.
• Quelle est votre plus grande peur ? : Être seul, sans mes amis...
• Quelle est votre vision du monde idyllique ? : Que tout le monde peut s'entendre, un monde en paix.
• Quelle est votre engagement dans le conflit ? : À protéger les cristaux !!
• Vous êtes plutôt lumière, neutre ou ténèbres ? : Lumière, pour sûr !

QUALITÉS
écrire ici.

Serviable

Amical

Courageux

Gentil

Juste

DÉFAUTS
écrire ici.

Innocent

Insouciant

Naïf

Curieux

Gentil ?

Couleur de peau ◮ Beige. Couleur des yeux ◮ Bleue grisée. Couleur des cheveux ◮ Blond. Type des chevelure ◮ Ebouriffée, en bataille. Structure faciale ◮ Ni trop carré, ni trop ronde.

Taille en centimètres ◮ 159cm. Corpulence ◮Mince, élancé. Pointure ◮Bonne question... Tenue idéal ◮Un gilet blanc/gris à col remonté et rouge, un pantalon large, quelques bracelets, un bout d'armure sur l'épaule. Signes particuliers ◮ Non.

Moi, je suis un être humain, comme vous, c'est ça que vous voulez que je vous dise ? Je pense pas. Vous voulez qu'on parle de mon passé, de mon histoire, mon vécu ? Pas de problème. Je pense pas que ce que je vais vous racontez vous servent grandement, mais, si c'est ce que vous attendez de moi, autant le faire. Ma naissance, je m'en souviens pas. Mes parents, mère, père, je les connais pas. Je sais même pas qui ils sont. Ai-je des frères, des sœurs ? Bonne question. Tout ce que je me rappelle de moi étant petit, c'est que j'étais l'élève de Maître Xehanort. Il m'entraînait sans cesse, jours comme nuits, je n'avais pratiquement aucun temps de répit. Il fallait simplement que je devienne fort. À l'époque, je ne savais pas pourquoi Xehanort voulait faire de moi quelqu'un de puissant. Pour ce protéger ? Maintenant je serais vous répondre. Non, ce n'était pas pour ça. Mon ancien maître se faisait vieux, il avait besoin d'une nouvelle enveloppe charnelle. Cette enveloppe charnelle, c'était moi. J'étais bien trop innocent pour m'en rendre compte, à l'époque. Mais d'après Aqua et Terra, je le suis toujours... M'enfin !

Xehanort me forçait toujours à me battre, me battre contre ces monstres. Les... les sans-coeurs ! Mais bien sûr, je ne savais pas comment faire alors je refusais. Il me disait toujours que je devais voir en moi la part de ténèbres et que je devais m'en servir lors des combats. C'est pas pour autant que j'acceptais, j'étais toujours contre quand-même. Parfois même, il me jetait au milieu d'un troupeau de sans-coeurs et m'observait, c'est tout. Je ne voulais pas me battre, mais je voulais survivre ; alors je m'enfuyais, je courais, j'avais peur. En me voyant ainsi, aussi faible et aussi vertueux pour que je devienne son futur corps, maître Xehanort décida d'agir autrement. Il utilisa le pouvoir de la Keyblade contre moi pour m'extraire tous les ténèbres que renfermait mon frêle petit corps d'enfant. C'est comme cela qu'il créa cette être fait entièrement de ténèbres, de pures ténèbres : Vanitas. Ventus, Vanitas, ça ce ressemble hein. Bref, mon cœur était à présent fait de pure lumière contrairement à ce nouveau né. Papy Xehanort – comme je le nommais souvent auparavant – avait un tout autre but dès à présent. Créé une Keyblade ultime, LA Keyblade Ultime ; la X-Blade.

Pour créé cette puissante Keyblade, il fallait fusionné un cœur de pure lumière et un cœur de pures ténèbres. Les éléments étaient là, moi et Vanitas. Seulement voilà, moi, fragile petit gosse que j'étais, je supportais mal la séparation et je faiblissais de minutes en minutes, de secondes en secondes. J'étais en train de perde la vie ; j'étais en train de mourir. Je ne pouvais rien faire, j'étais petit et sans défense, je ne comprenais même pas ce qu'il était en train de m'arriver. J'étais juste le spectateur de cet affreux spectacle de ma vie, assis paisiblement dans les gradins, seul, je patientais que la fin de la pièce se termine afin de pouvoir m'en aller tranquillement, c'est tout. Maître Xehanort m'emmena sur l'Île du Destin ; une île calme, sans aucun habitant, où je pourrais passé les derniers jours de ma vie en paix.

Heureusement, je fusse sauvé avant le moment tragique où j'étais censé perdre connaissance pour toujours. Inconscient, j'étais perdu dans mon esprit tourmenté quand une voix vint à ma rencontre. Je savais pas d'où elle provenait, je savais pas pourquoi je l'entendais, mais elle était là, point. Sans vraiment savoir pourquoi, je lui disais qu'une chose importante m'échappait. Un bout de mon cœur manquait à l'appel. Mais mon cœur fut retrouva vite ce morceau qui m'échappait, complétée par le cœur de cette voix. On venait de fusionné nos deux cœurs pour n'en formé qu'un avec celui de la mystérieuse voix. Elle m'avait dit que nos cœurs étaient liées, le temps que je retrouve ce qui m'avait échappé. J'étais bien content, je venais d'être secouru d'une mort certaine. Je ne savais l'identité de cette étrange voix qui résonnait en moi, mais je l'a remerciait tout de même. C'est alors que je repris conscience, délicatement posé sur ce tronc d'arbre extravagant, mon maître sans allait petit à petit, me laissant pour presque mort. À son grand désarroi, je levais le bras, la douce brise venait tapé contre ma peau nue, j'invoquais la Keyblade.

Que fut la surprise de Xehanort !

› Chapter I : Land of Departure ; The Day Before

Je venais de reprendre conscience à l'article de la mort, mes forces actuelles ne me le permettaient pas, mais si j'aurais pu le faire, j'aurais ironiquement adressé une phrase à mon maître. Enfin le principal était ; j'étais vivant. Bref, sans le vouloir, je faisais appel aux pouvoirs de ma Keyblade et un long rayon lumineux s'étendait jusqu'aux cieux. Hahaha, j'aurais aimé voir la tête de mon maître lorsque j'entendis son étonnement. Ca aurait été comique, ça. Mais passons... Je reprenais au fur et à mesure mes esprits et Papy Xehanort, lui, se rendait compte qu'il ne pouvait plus s'occuper de moi comme avant. Vanitas était là, maintenant, il avait un peu pris ma place. En fait, pour ne pas vous mentir, Vanitas aurait pu me détruire en un clin d'oeil s'il le voulait, mon ancien maître jugea bon de m'en éloigner. Pour ce faire, il me confia à son ancien compagnon, un dénommé Maître Eraqus. Les jours passaient et j'avais fais la connaissance d'Aqua et Terra, deux apprentis de mon nouveau maître. Mais depuis l’extraction des ténèbres de mon cœur, j'avais une certaine amnésie qui se présentait de temps à autre. Ne fut pas l'affolement de Terra lorsqu'il me questionna sur mon passé et que, sans mots dires, je m'étais évanoui.

Je resta dans ce profond coma durant quelques jours et je me décida enfin à en sortir. La voix d'Aqua avait sûrement transpercée mon cœur et m'avait fait reprendre conscience. J'ouvrais les yeux, je gloussais légèrement et j'entendis la manieuse de la Keyblade hurlée à son ami ainsi que son maître que j'étais de nouveau de retour parmi eux. Après mon réveil, je ressentais une certaine satisfaction. Je sais pas d'où elle pouvait bien venir ; le fait que j'ai rencontré Terra et Aqua ou alors le fait que je me sois réveillé. Peu importe après tout hein. Quatre ans passaient, quatre ans durant lesquels j'étais devenu moi aussi l'élève de Maître Eraqus, quatre ans durant lesquels je m'étais lié d'une forte amitié avec Aqua ainsi que Terra. J'étais le plus petit de tous, j'étais donc surprotégé. À vrai dire, je voyais ces deux-là – et c'est toujours le cas – comme ma grande sœur et comme mon grand frère. Ma seule famille, voilà tout. Durant ces quatre longues années, j'avais oublié tout ce qu'il mettait arrivé dans le passé ; Maître Xehanort, la voix que j'avais entendu au plus profond de mon cœur, mon « entraînement » avec Papy, Vanitas. Tout, vraiment tout, le grand vide dans ma petite tête. Pendant ces quatre ans, je mettais entraîner à manier mon pouvoir de la Keyblade aux côtés de Terra et Aqua. J'étais devenu fort grâce à eux, mais on était tous les trois forts !

Puis arriva à grands pas le jour de l'Examen du Symbole de Maîtrise. Cet examen, moi, je le passais malheureusement pas, Maître Eraqus estima que je n'étais pas encore prêt. Il à pour but de mettre à l'épreuve des manieurs de la Keyblade. Cet examen met aussi fin à l'apprentissage du maniement de la Keyblade, une fois passé, une fois réussit, un élève devient alors un maître à part entière : Un Maître de la Keyblade. La veille, j'avais aperçu une pluie d'étoiles filantes depuis la fenêtre de ma chambre. Wouah, c'était extraordinaire. Je décidais d'aller voir cela de plus près et je sortais de ma chambre. En chemin, je m'amusais à taper avec ma Keyblade sur un anneau géant. J'estimais avoir du temps devant moi, la pluie d'étoiles filantes ne se terminait pas en une seconde. Je frappais donc. Une fois. Deux fois. Trois. L'anneau tourna. J'étais fier de moi. Puis j'avançais et voilà que ce présentait d'autres anneaux tous reliés au même point central. Ils étaient donc plus résistant, mais rien ne me décourageait. Prenant ces anneaux comme un provocation, j'attaquais de nouveau avec un sourire aux lèvres. Et j'arrivais à les faire tournés, plusieurs fois d'affilées même.

Le temps avançait et moi avec. Je piétinais la douce terre de la Contrée du Départ vers le sommet, le temps de récupéré deux trois petites bricoles en chemin. Et me voilà arrivé au plus haut point, là où je pouvais paisiblement admirer cette pluie d'étoiles filantes. Je faisais disparaître ma Keyblade et je m'allongeais au bord du précipice, les mains derrière la tête, les yeux rivés dans les cieux. Je m'apaisais, tranquillement, je m'assoupissais. Peut-être même trop, je commençais déjà à somnoler. Ici, je n'avais rien à craindre, alors j'en profitais. Mais, en regardant ce beau ciel étoilé du soir, j'avais un sentiment de nostalgie... Un sentiment de déjà vu. Je n'y faisais pas plus attention que mes yeux se fermaient lentement. Je ne tardais pas à me réveillé, je baillais, m'étirais, mais je n'avais pas envie de partir, je voulais encore me reposer un peu ici, à l'air. Alors je me rallongeais une deuxième fois, les mains derrière la tête. Mes yeux n'étaient cette fois-ci pas fermés et je sursauta quand le doux visage d'Aqua apparût dans mon champ de vision, voilant le ciel. Oh que oui, mon cœur s'emballait tout seul et je sursauta sur le coup de la surprise. Elle, Aqua, riait bien de me voir ainsi. Elle se permettait même de rajouter que j'étais un fainéant, ce qui n'était pas totalement faux.

Je lui dis que j'avais rêvé, comme si j'étais déjà venu ici auparavant, que je regardais les étoiles... Mais, en tant que bonne amie, elle me rassura en caressant ma chevelure blonde et me dit que j'avais toujours vécu ici, à la Contrée du Départ. Je répondais affirmativement, baissant la tête, sachant pourquoi elle me disait cela. Mais, je redressa vite la tête pour lui dire que je savais déjà cela. Tout deux allâmes se posés au bord, scrutant à nouveau le ciel. Puis je me questionnait. Qu'était-ce toutes ses étoiles dans les cieux. Sans hésité, je me permettais de lui posé directement la question. Aqua savait tellement de choses, c'était toujours passionnant ce qu'elle avait a racontée. Elle commença alors à me dire qu'une légende – que tout le monde ce doit de connaître – disait que, mais la phrase fût coupée et reprise par un nouveau venu ; Terra. Donc, la légende disait que chaque étoile se issant dans le ciel était un autre monde. Y avait-il vraiment autant de mondes que celui où j'étais à ce moment-là ? Impressionnant. Dès lors, Terra entama un discours qui restait pour moi incompréhensible. Il disait que la lumière des mondes est en fait leurs cœurs qui brillent sur nous comme des millions de lanternes. Il faut dire que ce n'était pas difficile de comprendre, mais... bref !

Terra rajouta qu'ils étaient tout comme moi. Encore une fois je comprenais rien à ce qu'il me contait et je l'interrogea sur le sens de ses phrases une nouvelle fois. Terra n'en dit pas plus, simplement que je comprendrais en temps voulu. Mais je voulais savoir de suite, moi. Apparemment, j'étais encore trop jeune, mais je protesta en assurant ne plus être un gamin. Mon oreille vibra au petit rire caché d'Aqua derrière moi. Elle disait qu'on faisait de drôles de frères, mais pour moi, Terra était mon frère. Tout comme Aqua était ma sœur. Cette dernière fut prise d'un fou-rire qui me prit aussi ainsi que Terra. Finalement, je venais reprendre ma place auprès d'Aqua et mon « grand frère » venait s'asseoir avec nous. C'était calme, le silence était revenu et nous fixions le ciel. Je m'en souviens comme si ça ne datait que d'hier, le sentiment de sûreté que j'avais avec eux, le sentiment de joie, de ne pas être seul. C'était si agréable... Et Aqua vint cassée ce silence en se levant et prit la parole. Elle rappelait qu'ils allaient passés l'Examen des Symboles le lendemain et que, de ce fait, elle avait fabriquée des porte-bonheurs. Un pour elle, un pour Terra. Quand je vu celui de ce dernier, j'esquissa un sourire d'étonnement. Ils étaient si bien fait. Enfin, Aqua me balança le mien. J'avais eu le droit à un porte-bonheur moi aussi, j'étais si content !

Un pour chacun de nous. Voilà ce qu'elle disait. Ils avaient une forme de fruit de mer, d'étoile ou encore de Paopu. On racontait qu'il y avait – quelque-part dans l'univers – un arbre porteur de fruits sous forme d'étoiles. On les nommaient « Paopu ». Ces mêmes fruits représentaient un lien indestructible. Quiconque en partageait un se retrouvait lié pour l'éternité avec l'autre personne. Aqua racontait que des amis ayant un porte-bonheur en forme de Paopu, rien ne pourrait les séparer. Ca m'en mettait presque les larmes aux yeux. J'étais si heureux. Je demandais donc si c'était des faux porte-bonheurs, comme pour en quémandé des vrais. Elle me répondu qu'elle y avait jetée un petit sort. Cette dernière était très douée dans le domaine de la magie. Curieux, je demandais alors quel était ce sort. Plus fort qu'un sort, elle y avait jetée un lien indestructible, disait-elle en levant son porte-bonheur vers les cieux. J'avais appelé mon petit fruit porte-bonheur « Eclaireuse », cela lui convenait tellement bien. En revanche, Terra venait vite à changer de sujet. L'examen avait lieu le lendemain, il fallait donc s'entraîner et c'est ce qu'il proposa. Je faisais apparaître ma Keyblade en relevant le défi. Et nous voilà parti pour une longue séance de combat.

Epuisé, nous allâmes nous reposé afin d'être prêt pour l'Examen. Je n'y participais pas, mais j'avais attendu ce moment depuis si longtemps, je ne voulais aucunement le raté. En chemin, Aqua s'arrêta. Elle avait son porte-bonheur en main, regardait la dernière étoile filante et nous rejoignis.

C'était ici la dernière soirée que nous passâmes sous les mêmes étoiles.
Et plus loin, à notre grand dépourvu, une personne sentait le mal approché...

› Chapter II : Land of Departure ; Test of Symbol Mastery

Nous y voilà enfin. Le jour, CE jour qu'on attendait tant. Je m'étais réveillé de bonne heure – pour une fois – et j'étais sorti dehors très tôt le matin, respiré l'air pur de la Contrée. Pour bien commencé une journée, il n'y avait rien de mieux que cela. Je montais ensuite la colline pour me rendre au sommet, comme la veille. Je regardais ce ciel bleu et clair ; la pluie d'étoiles filantes n'y était plus, mais le ciel était toujours aussi beau. Après ce petit « rituel » matinal, je me rendais là où l'épreuve allait se dérouler. Lorsque j'arrivais sur les lieux, Aqua et Terra y étaient déjà. La chaise de mon Maître était vide. En revanche, sur la place à côté, un étrange vieillard était assit, tranquillement. C'était la première fois que je le voyais et il me lança un drôle de regard. Il... il faisait peur. Son sourire était peu rassurant aussi. Mais j'allais me mettre à ma place, sur le côté, sans bruit, sans déranger, en souriant légèrement à mes amis. Je n'étais ni pour l'un, ni pour l'autre ; j'étais pour les deux, moi. Quelques minutes après, Maître Eraqus entra dans la salle et prit place. Il resta assit pendant plusieurs minutes, laissant parler le silence à sa place. Je tournais un peu du regard cette vieille personne me fixait toujours le sourire collé au visage. Mais que me voulait-il à la fin ?! Mon maître se leva et je me redressa rapidement, prenant un air sérieux et concentré.

Maître Eraqus fit un petit discours durant lequel il répéta que ce n'était pas une compétition, ni un combat, que ce n'était pas un test de volonté ; mais un test de cœur. Ensuite, il nous présenta le convive qui était assis sans bruit. Cet étrange convive je devrais dire... Le vieillard se pencha légèrement sans prendre la peine de se lever de son fauteuil. Pas très sympathique dis-donc. Notre Maître se permit de rajouter que Maître Xehanort, le convive, n'avait pas fait un long et épuisant chemin pour voir les plus jeunes espoirs rater le Symbole. Ce qu'il disait, c'est qu'ils avaient intérêt à donné le meilleur d'eux. Il leurs mettait la pression, en quelques sortes. Voilà, après cela, ils allaient pouvoir commencé l'examen. Ah, ce que j'étais excité. J'en avais la boule au ventre, comme on dit. Maitre Eraqus sortit alors sa Keyblade, simple et belle à la fois et fit apparaître cinq orbes lumineuses flottantes dans les airs derrière Terra et Aqua. La première étape. Enfin. Enfin. Enfin ! Mais un événement inattendu se produisit. Les orbes fut entourés d'énergie négative, de ténèbres. Elles se mettaient à bougées et devenaient dangereuses. Mes deux amis attaquèrent et une boule d'énergie s'approchait de moi. Je n'avais pas peur, je sortais ma Keyblade et je détruisis cet orbe. Aqua me demanda de partir, mais je refusais. J'avais attendu bien trop longtemps ce jour pour m'en aller maintenant, non, j'allais me battre aussi. Comme dit Terra, je m'étais entraîné moi aussi.

Et hop, nous voilà au combat. On attaquait, on en détruisait, mais elles revenaient aussitôt. On formait une bonne équipe, tous les trois. Et voilà, dix minutes plus tard, on les avaient toutes éradiquées. Elles n'étaient pas assez puissantes face à nous. Ensembles, ont étaient invincible. Chacun repris sa place. Maître Eraqus lui-même ne savait pas que cela allait se produire, mais pour lui, c'était un excellent test et il l'avait laissé se dérouler, sans rien dire, sans intervenir. La suite, c'était un combat opposant Aqua et Terra. Ca allait être rude, ça allait être fort ; mais ça allait aussi être un spectacle époustouflant à ne rater sous aucun prétexte. Finalement, je ne regrettais pas ma venue. J'en étais même très content. Un duel. Un beau duel. Dans ce duel, il n'y aura pas de vainqueurs à la fin, seulement des vérités, puisque, comme le fit remarqué Eraqus, la nature de deux forces se révèle lorsqu'elles s'affrontent. Bref, face à face, les yeux dans les yeux, prenant la pose offensive, ils attendaient le départ. Et le voilà, paf, notre Maître le lança haut et fort et eux, ils débutèrent. Et hop, un coup, Keyblade contre Keyblade. Le son strident qui en sortit m'en piquait les tympans. Tandis qu'Aqua faisait preuve d'agilité et de ruse, Terra, lui, faisait preuve de force. Il enchaîna coups sur coups, mais n'arrivait pas à touché sa cible. Aqua prit la relève et le frôla. Un peu plus et il se prenait une Keyblade dans la tête, haha. Il recula et notre belle amie, elle, avançait pour tenter de lui assénée un coup. Tout d'un coup, sans même le vouloir, le bras de Terra fut prise d'une ombre étrange : de Ténèbres. Wouah, j'en étais tout retourné. Mais ces ombres se dissipaient peu à peu et il stoppa le coup de sa Keyblade. Quel combat impressionnant. Et finalement, il prit fin, lentement.

Maître Eraqus et Maître Xehanort avaient délibérés et prit leurs décisions. Terra fut recalé et Aqua fut déclarée Maître de la Keyblade. Seule Aqua réussit à montrée le symbole de Maîtrise, Terra n'arriva pas à contenir les ténèbres qui étaient en lui. J'étais surpris, étonné, attristé, aussi. Terra était tellement fort, si seulement il avait réussir à contenir ses ténèbres, si seulement... Maître Xehanort partit en premier, Aqua devait restée pour recevoir ses instructions en tant que Maître de la Keyblade et moi, moi, j'allais voir Terra. Enfin, notre Maître s'éclipsait à son tour. Terra était désemparer, il ne savait pas d'où provenait ces ténèbres. Il avait besoin d'être seul, un instant, pour réfléchir, pour se posé et il disparut. Pendant ce temps, sans qu'on le sache, on complotait sur nous. J'étais retourné dans ma chambre, attendant calmement qu'Aqua revienne. Elle était restée, comme lui avait demandé Maître Eraqus. J'aurais aimé aller voir Terra, mais il voulait resté seul, je respectais donc son choix. Allongé sur mon lit, confortable et mou, j'avais pris ma Keyblade de bois. Je faisais quelques mouvements, pensant à Terra. D'ailleurs, j'y avais délicatement inscris son prénom, dessus. Passons. Je m'arrêtais et le bruit d'une cloche retentit. On n'en entendait jamais, je m'inquiétais et me levait de mon lit. Qu'est-ce que ça pouvait bien être ?

Une voix résonna dans la pièce derrière moi, me clamant de me dépêcher. Un étrange garçon, masque, vêtue de noir et de rouge était entré dans ma chambre. Comment ?! Je lui demandais qu'il était, mais, sans répondre à ma question, il disait que je ne reverrais jamais Terra, si je ne me dépêchais pas. N'importe-quoi, je pouvais le voir quand je veux. Et c'est là qu'il me dit que Terra était en train de partir et que le jour où je le reverrais, il aurait complètement changer. Qui qu'il soit, il ne connaissait pas Terra. On formait une équipe, et je me mettais en position car cet étrange gars me cherchait des ennuis. Grandis un peu. C'est ce qu'il me répondit. Pour lui, l'amitié c'était pas cela et je ne serais jamais la vérité si je n'allais pas voir par moi-même. La vérité hein... Quelle vérité ?! Que vais-je apprendre en restant coincé ici. Il n'avait pas tort. On aurait dit qu'il m'encourageait à partir, comme si cela était important. Je baissais la tête, la Keyblade de bois toujours en moins. Après cette petite « discussion » peu attendue, il s'en alla en empruntant un trou noir. Ce qu'il venait de me dire m'intriguait énormément. Terra me cacherait des choses ? Je devenais nostalgique. Je me remémorais tous ces moments passés avec lui ; les entraînements, les déconnades, son sourire, les moments où il me faisait la moral, où je m'excusais, quand je pleurais et qu'il venait me réconforter...

Tout ça... Tout ça, je sentais intérieurement que ça disparaissait... malheureusement, j'avais raison.
Mais se lamenter ne servait à rien et je refusais de laisser notre amitié dans un piteux état. Prenant mon courage à deux mains, je proclamais son nom et partis pour le rejoindre avant qu'il ne s'en aille. J'arrivais à temps, oui, il était encore là, Terra n'était pas partit, je le voyais, je hurlais son prénom, je voulais lui causer. Essoufflé, je faisais une petite pause devant lui. Comme à son habitude, le manieur de la Keyblade passa sa main dans mes cheveux, me rassurant. Il tapa sur le morceau d'armure à son épaule et invoquait son armure entière. Il ouvra alors les entrechemins, transforma sa Keyblade en un vaisseau et, hop, le voilà partit. Je n'avais pas eu le temps de lui parler et il fallait que je le fasse à tout prix ! Allez, pas de temps à perdre, je partais à sa poursuite. J'imitais alors ses gestes, tapant sur mon bout d'armure à l'épaule, j'étais maintenant revêtis d'une belle armure. Toujours dans l'imitation de Terra, je balançais ma Keyblade dans les airs et celle-ci se transforma. Je sautais dessus et me voilà parti ; je venais d'emprunter les entrechemins bien que cela était interdit.

Voilà. Nos chemins ce séparaient ici. J'étais parti pour ma longue quête, comme Terra, comme Aqua.

› Chapter III : Dwarf Woodland

Le beau ciel bleu qui couronnait ce monde me rappelait tous ces moments passés à scruter l'horizon avec Terra et Aqua. Je venais de poser le pied sur un monde que je ne connaissais pas, un monde parfaitement inconnu. En fait, c'était la première fois pour moi que je quittais la Contrée du Départ ; j'étais impressionné. Entre les montagnes qui encadrait la petite route sur laquelle j'avais atterri, je marchais tranquillement à la recherche d'un quelconque indice sur Terra. Et pourquoi pas trouver immédiatement Terra, aussi. Mes yeux se baladaient, à droite, à gauche, il n'y avait rien que montagnes et corniches. J'arrivais au bout de la route qui donnait sur un autre chemin, plus bas. Je regardais toujours autour de moi. Qu'est-ce que cela pouvait bien être ? Et ça ? Et ça ? Et... Mes yeux se rivèrent sur des petits bonhommes, pas plus que haut, pioches à la main. Ils marchaient tous dans le même sens, l'un derrière l'autre, en parfaite synchronisation. Et une deux, une deux, une deux. Il y en avait un visiblement plus jeunes que les autres qui marchait en dernier, légèrement à la bourre. J'étais rassuré de voir d'autre personnes ici, mais aussi amusé par le spectacle. Ils étaient vraiment... petit. Ils passèrent en-dessous de la corniche où j'étais sans même me voir. Toujours autant amuser, j'allais alors à l'autre bout du petit passage en hauteur, sans les quitter des yeux. Toujours dans cette harmonieuse marche, ils entrèrent dans une grotte. Peut-être avaient-ils vus Terra dans le coin ?

Je ne savais pas encore mais c'était une excellente occasion pour les suivre. Dans un élan acrobatique, je sautais de cette corniche afin de rejoindre l'entrée de la grotte, la même que celles des petits bonhommes. À l'intérieur, ça brillait de part et d'autre. Les mêmes nains creusait des ces murs emplit de beaux minerais à l'aide de leurs pioches. Ils avaient l'air très enthousiastes dans le boulot qu'ils venaient d'entreprendre. Je les regardais un peu interpeller, mais l'un d'entre eux me remarqua avant de me demandé qui j'étais. Je me présentais gentiment, mais eux, ils ne m'appréciaient guère. Un voleur de diamants, moi ?! Jamais. Je suis honnête et pour la justice, je ne suis pas ce genre de bandit... Enfin bref, ils couraient se caché sans même me laissé le temps de contredire le fait que je sois un voyou, ils étaient déjà tous partis, sauf un qui, dans l'affolement, se cogna à un mur. J'étais un peu déboussolé, je ne voulais pas les effrayer, je voulais simplement de l'aide et sympathisé avec eux, pourquoi pas. Je tentais alors de présenter mes excuses les plus sincères ; je ne voulais pas qu'ils aient peur. Je souriais comme j'avais l'habitude de faire, comme pour les mettre en confiance, mais ce genre de choses ne marchaient apparemment pas avec eux. Ils étaient toujours aussi distant. Quoiqu'il en soit, j'étais soupçonner de voleur et je n'aimais pas cela, je le proclamais donc haut et fort. Je rajoutais que j'étais ici à la recherche de mon ami, Terra.

Une fois de plus, je me fis agressivement refoulé peur ces petits êtres. Mais je ne voulais pas de mal, je voulais juste discuter un peu, me faire de nouveaux amis. Mais, ils refusaient pertinemment de s'approcher. Très bien, dans ce cas, c'est moi qui viendrais à eux. Je partais alors en exploration dans cette mine à la recherche des nains qui s'étaient cachés un peu partout et... un peu n'importe comment. Dans des boîtes, cartons, en hauteur ou encore dans des wagons. Ajoutons à cela une ribambelle de Nescients qui me barraient la route à chaque fois que j'en avais un en vu. Mais je les trouvais tous au final et j'ajoutais pour la millième fois que je n'étais pas un brigand. Mais eux, ils ne me croyaient toujours pas. Comment les convaincre, comment ?! Et bien, puisque c'était ainsi, s'il voulait que je parte, alors je m'en allais, je n'allais pas chercher plus loin. J'étais déçu, oh ça oui, mais tant pis. Mais, avant de quitter la mine, j'avais encore une question. Où pouvais-je trouver d'autres personnes ici, peut-être que cela allait me mettre sur la piste de Terra, si je trouvais quelqu'un d'autre. Selon eux, il y avait un château après la... la purée... ?! Euh... Mais il se rattrapa vite en se corrigeant sur la forêt. Je remerciais leur renseignement et je partais sans tarder une seconde de plus. Je traversais alors les montagnes, me frayant un chemin entre ces Nescients qui étaient bien décidé à me barrer la route.

Plus je m'enfonçais, plus les arbres étaient en abondances. J'arrivais bientôt devant une maisonnette, un cottage disposé à l'entrée de cette sombre forêt. Elle n'était pas spécialement grande et j'en déduisais que c'était sûrement l'endroit où vivait ces petits bonhommes. Je jetais un bref coup d'oeil par l'une des petites fenêtres quand un cri retentit au loin. Je fronçais les sourcils en cherchant la provenance de ce cri... il venait de la forêt. Sans crainte, je m'enfonçais pas à pas dans cette mystérieuse forêt. Très vite, j'apercevais une jeune fille, au sol, en larmes. C'était si dramatique et je ne pouvais l'ignoré. Je ne suis pas ce genre de garçon, moi, j'aide ceux qui en sont dans le besoin, c'est tout. Je demandais curieusement ce qu'il se passait, pourquoi pleurait-elle. Bouleversée, il n'y avait pas d'autre mot, elle était bouleversée. Elle racontait que ces arbres avaient essayés de l'attraper et elle continuait à pleurée, inondant son visage de larmes de tristesse. Je n'aimais pas voir des personnes dans cette état, surtout une jeune fille qui avait l'air parfaitement gentille. Je lui tendais ma main pour qu'elle puisse se relevée, je disais que cela devait être son imagination qui lui jouait des tours, je voulais la rassurer de part ma présence. Je me permettais de dire que l'imagination nous faisait voir toutes sortes de choses aussi horribles les unes que les autres. Souvent, quand on a peur, c'est ce qu'il nous arrivent.

Elle s'aidait de ma main comme appuie et se releva. Elle disait qu'elle allait mieux, qu'elle n'avait plus peur, mais qu'il lui fallait un abri pour passé la nuit sans problème. La jeune fille ne savait pas où allée et moi, j'avais repérer la maison plus loin. Je lui proposais de s'y rendre, je l'accompagnerais bien sûr. Avant de commencer notre petit périple vers la chaumière, je me présentais et elle fit de même. Blanche-Neige... C'était assez mignon et doux à la fois. Ca lui allait très bien. J'étais ravi d'avoir fait une connaissance sympathique, au moins, elle ne m'avait pas refoulée comme les nains en disant que je suis un voleur ou quoique ce soit dans le genre. Nous voilà donc en route. Le seul hic, les Nescients étaient décidé – encore une fois – à me barrer la route, mais aussi celle de Blanche-Neige. Durant la course, des arbres tentaient mystérieusement d'aspirer cette dernière. Evidemment, je les stoppais avant même qu'il n'est réussit à effleurés Blanche-Neige. Bref, ont avaient traversé cette lugubre forêt avec brio et je l'a menais en sécurité dans le cottage. Ici, elle ne craignait rien, la maison était sûre, qui passerait pour voler quelque-chose dans cette maisonnette ou pour la détruire. Et, très franchement, je n'avais pas vu grand monde excepté la jeune fille et les sept nains au total.

Je lui disais de ne pas bougée d'ici, tandis que moi, j'allais vérifié les alentours afin de sécurisé le périmètre.

Je revenais enfin après une longue promenade où j'avais scruté les lieux. J'ouvris la porte et je disais qu'il n'y avait rien de suspect aux alentours. Mais, à ma grande surprise, les fameux nains étaient ici, avec Blanche-Neige, autour d'elle. Ils me traitèrent une nouvelle fois de voleur, mais je ne le suis pas. La jeune fille prit ma défense, mais ils ne l'écoutaient pas le moindre du monde. Elle les suppliait de ne pas me chasser. Finalement, ils obéissaient et je ne fus pas mis à la porte. En revanche, j'avais besoin de comprendre ce qu'il s'était passé pour elle avant que je la trouve et elle nous expliqua. En cueillant des fleurs à l'orée de la forêt et il y avait un étranger avec une épée en forme de clé puis ensuite des monstres sont apparut et elle parlait tellement vite qu'elle s'épuisait en un rien de temps. Moi, je me questionnait. Un étranger avec une épée en forme de clé... Sans l'ombre d'un doute, c'était la Keyblade. Mais c'était qui, cette étranger... ?! Peut-être bien que... Terra ! Oui, c'était sûrement lui, j'espérais de tout mon être que c'était mon ami ! Un des nains dit alors que cet étranger avait envoyer sa horde de monstres sur la « princesse », mais c'était faux, Terra n'était pas comme ça, il ne ferait jamais une telle chose ! Je le savais, je ne le connaissais que trop bien. Les petits bonhommes doutaient encore de moi, ils doutaient encore de ce que je racontais. Mais cette fois, non, je ne me laisserai pas faire, j'allais prouver à tous que je disais la pure et l'unique vérité.

Je quittais cette maison dans la précipitation et la colère. Quand j'arrivais dans la sombre forêt, un Nescient géant était là et me barrait le chemin. Il avait une forme d'arbre... c'était un arbre, en fait. Je ne cherchais pas à savoir comment il était arrivé ici et tout ce qui va avec, je ne pensais qu'à Terra, je n'avais qu'un seul désir ; le revoir. Alors je me mettais en garde et j'attaquais. J'utilisais de mes pouvoirs de la Keyblade pour le détruire et, après un combat assez durement mené, je mettais fin à sa pauvre vie. Après ce combat quelque peu mouvementé, je sortais de l'autre côté de la forêt. Je criais, je hurlais le prénom de mon ami : Terra. Je hurlais à m'en arracher les cordes vocales, je voulais tant le retrouver. Mais de l'autre côté de la forêt, il n'y avait rien. Absolument rien. Un simple terrain et... une pomme qui roula jusqu'à mes pieds. Je la ramassais ; d'où venait-elle, cette petite pomme ? Je regardais alors devant moi et je vis une vieille femme, marchant nerveusement, panier en main, un panier remplit de fruits. J'en déduis que cette pomme était alors tombée de son petit panier à fruits et j'allais lui rendre. Mais je n'aurais pas dû, non, jamais jamais, je n'aurais jamais dû faire ce geste. Cette vieille dame glauque me dit alors qu'elle avait déjà vue une clé semblable à la mienne. Elle connaissait Terra et celui-ci l'avait présentement agressé en lui demandant si elle connaissait Xehanort.

Tout ça, ce n'était pas Terra. Ca ne lui ressemblait tellement pas. Que lui arrivait-il ? Qu'était-il en train de faire ? La dame me disait qu'elle ne savait pas où était passé Terra et elle s'en alla comme elle était venue. Bref, quoiqu'il en soit, Terra n'était plus ici, je n'avais donc plus aucunes raisons de rester. Je m'en allais sans même prendre le temps de prévenir Blanche-Neige ou... les sept nains. Je m'en allais dans le silence total, prêt pour le prochain monde, prêt à rechercher Terra où qu'il soit !

› Chapter IV : Castle of Dreams

J'emprunta les entrechemins pour me rendre sur un autre monde. Je venais d'atterrir, et ce monde me semblait... bien grand. J'étais dans une cage, je ne pouvais en sortir. Je hurlais en me demandant comment j'avais pu devenir si petit, mais aucune réponse ne venait. Autant le dire, j'avais les nerfs à vifs. Nul doute, j'étais dans une chambre. Mes mains sur les barreaux de cette prison, je désespérerais. Raah, comment allais-je faire pour sortir d'ici ?! Ne rigolez pas trop, j'aurais bien aimé vous y voir, vous ! Bref. Je ne savais pas quoi faire, il fallait que je retrouve Terra, mais pour ce faire il fallait aussi que je sorte de cette cage. Je n'avais pas de temps à perde, malheureusement, j'en perdais énormément là. J'étais si préoccuper pour trouver une façon de sortir d'ici que je n'avais pas directement entendu le bruit de talons résonner dans la pièce. Aqua ?! Non. Ce n'était pas Aqua. C'était une autre fille, une inconnue. Cette dernière prit la cage sans faire attention ; je fusse secoué dans tous les sens avant d'être propulsé au fond de la barrière. Ma tête avait fortement cognée, j'étais un peu sonné. Puis, elle dit qu'elle n'avait encore jamais vue de telle souris. Une... Souris ?! Mais... je ne suis pas une souris !

Après avoir été un voleur de diamants, me voilà maintenant être une souris. Je sens que ça ne faisait que commencer...
Bref.

La même jeune fille demandait à un certain Jaq de m'expliquer. Mais, m'expliquer quoi, au juste ? Elle posa la cage qui grinçait beaucoup. Les bruits des barreaux s'entrechoquant me faisait mal à la tête, j'avais cette désagréable impression d'écho dans ma tête. Là, une petite sourie entra dans la cage. C'était donc lui, Jaq. Tout s'expliquait. Il me disait de ne pas avoir peur, qu'il m'aimait bien et que « Cendrillon » aussi. Ah, Cendrillon, c'était donc le prénom de cette jeune fille qui m'avait sortie de là. Je souriais et je suivais la souris jusqu'à la sortie de la prison. Ah, ça faisait du bien de se sentir libre. Bon, j'étais toujours aussi petit que cette souris mais... j'étais libre, aha... M'enfin, la souris se présenta, moi aussi et comme à mon habitude, je disais de m'appeler Ven. Ven-Ven qu'il disait, Jaq. Il parlait rapidement et je ne comprenais pas tout, juste l'essentiel. Il était très accueillant, très gentil et très touchant, au final. Il me disait que si j'avais besoin de quoique ce soit, je pouvais lui demander. Je me sentais tout de suite à l'aise. J'aurais aimé parlé un peu plus avec eux deux, mais Cendrillon fit appelé par une voix féminine et rouillée, elle devait se remettre au travail, disait-elle. J'avais comme l'impression qu'elle avait très peu de temps à s'accorder. Jaq me dit alors que c'était à cause des « Harpies », qui ne lui laissaient aucun répit.

Cela n'avait guère l'air de la déranger, mais la petite souris me disait que c'était tout elle. Elle travaillait dure car elle avait un rêve, un grand rêve, un rêve qui allait se réaliser. Elle était déterminée. Être déterminer, il n'y a rien de mieux. En fait, elle me rappelait Terra. Oui, Terra était un garçon déterminé et courageux. Il voulait devenir Maître de la Keyblade, c'était son rêve et il voulait le réaliser. En revanche, il n'y était pas arriver. Enfin, pas pour le moment, en tout cas. Tiens, en parlant de Terra, peut-être que Jaq l'avait déjà vu. Mais, hélas, non, ce n'était pas le cas. Tant pis, ça valait le coup d'essayer, hein... Tandis que mon regard s'attristait, Jaq me dépêcha pour me faire visiter la maison. Je n'allait pas décliner une si gentille offre, je le suivais donc. On montait des marches qui, pour ma petite taille du moment, me semblaient être gigantesque. J'arrivais au bord d'une fenêtre avec Jaq, donnant une vue sur un somptueux château qui brillait à l'horizon, titillant le ciel tellement qu'il était imposant. Mon ami souris me contait qu'un graaand bal s'y passait, le soir-même. Il ne savait pas si Cendrillon comptait s'y rendre. D'ailleurs, en parlant du Loup, elle entra dans la salle en nous saluant. Elle demandait si on était devenus amis, la réponse était simple, oui. Elle avait avec elle un mannequin portant une magnifique robe, rose et blanche. Elle s'en occupait en chantonnant quelques doux morceaux d'une musique que je ne connaissais pas. Sûrement venait-elle de son monde.

Bref, elle semblait heureuse et je ne manqua pas de lui faire remarquer. Celle-ci me disait qu'elle allait au bal, le soir. Ah bah là voilà, notre réponse, à Jaq et moi ! Elle était contente, oh ça bien sûr que oui, et il y avait de quoi l'être. Mais le travail la rappelait, la même voix glauque et rouillée suivit de deux voix plus jeunes, mais tout aussi horrible à entendre. Aah, sa robe allait devoir attendre, disait-elle. Et elle repartit aussi vite qu'elle venue. Jaq, lui, ne semblait pas emballé du tout. Il disait qu'elle n'irait jamais au bal à cause des harpies qui ne lui laisse pas de temps, sa robe ne serait jamais fini avec le commencement du bal. C'était attristant, mais Jaq avait une idée à tout et cette fois-ci, il voulait que l'on termine la robe de Cendrillon afin qu'elle soit prête à son retour. Il me demandait d'allé trouvé deux trois bricoles dans la maison, il y avait beaucoup de choses jolies dans cette demeure de riche femme. J'acceptais sans contester, si je pouvais apporter mon aide à qui que ce soit, j'étais toujours partant pour faire toute sorte de travail. Quand je m'approchais de la porte de sortie, Jaq me mit en garde contre « Lucifer ». Lucifer ? C'était le chat de la maison, un sournois et méchant chat, s'il me voyait, je me ferais mordre. Pas de problème, je le remettrais en place, moi, ce vilain minou.

On avait besoin d'un beau nœud, d'un ruban et d'un bouton blanc. Nous avions aussi besoin de tissu et d'un fil rose. Soit, cinq choses, zougk-zougk, comme disait Jaq... Je retournais dans la chambre où j'étais enfermé auparavant. Je trouva le tissu rose, le ruban blanc, un nœud blanc, un bouton blanc et enfin, un grimpant sur la Garde-Robe, je trouvais le fil rose. Voilà, j'avais tout et je m'empressais de rejoindre la petite souris restée dans la même pièce que tout-à-l'heure. Après lui avoir donné toutes les affaires récoltées, Jaq me disait qu'il avait aussi besoin d'une perle. Une jolie perle. Pas de problème, je repartais directement, laissant la petite souris dans la pièce. Je reprenais le trou de souris, puis chaque petit passage afin de revenir dans la même chambre. La perle, elle était là, sur le sol... entre les griffes de Lucifer. Ce chat. Celui des « Harpies » comme Jaq les nommaient. J'étais petit. Tout petit face à lui. J'avançais sur la pointe des pieds, tout doucement, tout doucement, touuut doucement... Je bougeai ma main devant ses grosses moustaches. Un, deux... ? Rien. Il dormait profondément. J'attrapai donc la perle et je repartais, toujours sur la pointe des pieds. Un pas, deux pas, trois pas. Un regard à gauche, à droite, à gauche. Et hop, une voix retentit. Et hop, une pelote de laine violette tombait sur la grosse tête du gros chat. Jaq ! C'était Jaq ! Il venait de me sauver des griffes de Lucifer qui s'était réveillé sans que je le remarque. Alors que la souris faisait diversion en bombardant le chat de pelotes, moi, j'accourais vers le trou qui menait au petit chemin, la perle en main.

Mais à l'aide son derrière poilu, il donna un coup sur la commode où perchait Jaq et le fit tomber à la renverse. Alors qu'il allait lui porter un coup de pattes, Keyblade en main, perle dans une autre, je venais secourir la souris. Je provoquai librement Lucifer, protégeant Jaq qui venait de prendre la perle et de s'enfuir avec. La grosse boule de poils, elle était à moi ! Et c'était parti. Les coups de keyblades partaient dans tout les sens, les coups de griffes aussi. J'esquivai parfois, mais ce gros chat était un dur à cuire. C'était mal tombé, puisque moi aussi, je me laissai pas faire. Surtout pas face à un chat. Il s'amusait à sauter sur les meubles de la pièce et me retomber dessus. Mais j'étais plus malin, j'esquivai et je contra-attaquai directement. Le combat se termina et j'étais le vainqueur. Jaq revenait vers moi en me remerciant. Mais c'était normal, il n'avait aucun besoin de me remercier. Puis, il m'avait sauvé avant aussi, je faisais pareil. Je lui disais que les amis devaient s'entraider et cela avait l'air de lui faire plaisir, que je dise qu'il est mon ami. Mais c'était la pure et simple vérité ! Mais pas de temps à perdre, la robe avait encore grand besoin que l'on s'occupe d'elle, alors ont fonçaient vers cette dernière pour y apporter les dernières modifications. Hop, hop, hop. Quelques trucs pas là. Quelques trucs ici. Un petit coup dans ce coin là. Hop, hop, hop. La robe était prête. Elle était magnifique, Jaq et moi, l'avions faits avec notre cœur. Ont en étaient fiers. Puis, Cendrillon entra dans la pièce.

Elle se posa sur une chaise, le coude sur le rebord de la fenêtre et regardait le château qui brillait au loin. Elle avait l'air... triste. Elle disait qu'un bal, c'était quoi de plus qu'un simple bal ? Après tout, ce n'était rien, non ? Ca devait être ennuyant... ennuyant à mourir qu'elle disait. Elle rajoutait que cela devait être triste et complètement... complètement merveilleux disait-elle. Cendrillon avait envie d'y aller, ça ce voyait, mais elle ne pouvait apparemment pas. Elle contemplait le château où se passait le bal, mais je l'appelait et elle se retourna, étonnée de voir la grande robe que nous lui avons confectionné. C'était un cadeau. Un grand cadeau ! Elle était très heureuse et nous pris dans ses mains pour nous remercier. Cendrillon était finalement partie. Jaq et moi, ont s'étaient posés sur le rebord de la fenêtre, fixant le château. On espérait qu'une seule chose, que le rêve de Cendrillon se réalise. Puis, Jaq me demandait mon rêve. J'eus une vision, celle de Terra clamant qu'il voulait devenir Maître de la Keyblade, que c'était son seul rêve. Aqua lui répondait qu'il n'était pas le seul à poursuivre ce rêve ; Aqua, lui et moi... partageons le même rêve. Mais en vrai, je n'y avais pas réellement pensé, a mon rêve. Mais mon rêve, était finalement celui d'Aqua et Terra, devenir maître de la Keyblade. La petite souris me dit qu'il était sûr que mon rêve se réalisera.

Et nous nous quittions sur la belle vue du Château.

› Chapter V : Enchanted Dominion

En cours...

PRENOM OU PSEUDO ◮ Donald Duck.
ÂGE ◮ Dieu créa l'homme, Aqua créa ce forum, Destiny créa le design ( je peux continuer si vous voulez ? 8D )
SEXE ◮ Masculin.
Où AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM ? ◮ Asuka m'en avait parlée, puis, ayant aimé l'intrigue et le design, me voici.
QU'EN PENSES-TU ? ◮ Il est sympa ^-^!
DEPUIS COMBIEN DE TEMPS JOUES-TU à KH ? ◮ Hm... Très longtemps xD.
FRÉQUENCE DE CONNECTIONS ◮ Le plus possible.
NIVEAU RP ◮ Euh. Je ne compte jamais les lignes, mais les mots. En général, c'est aux alentours de 1000 mots par RP.
MOT DE LA FIN ◮ Les Champignons tueurs c'est les meilleurs èwé.